... Un de mes oncles, prêtait un costume civil à un curé, quand il montait à Paris. Cet homme se payait un bon restaurant et ensuite, il allait voir les putes ...
Je me sens un peu dans le même état d'esprit quand j'écris un article et que j'oublie de faire les photos.
Visiblement, c'est pas le même hémisphère qui travaille. Je ne sais pas si vous me suivez là ?
FP
... Je n'étais pas grand. Je montrais mon cul à tous les passants... (oui aussi !)
Mon dieu, mon dieu, comme vous voilà bref et sibyllin mon ami... moins vengeur et tout à coup... plus intime!
RépondreSupprimer:K)
Quel état d'esprit ?
RépondreSupprimerCelui du curé qui range sa soutane au vestiaire, mettant son quotidien et ses responsabilités entre parenthèses ?
Celui du curé qui jouit de l'anonymat libérateur ?
Ou celui du curé qui, descendu de chez la pute, réenfile sa soutane ?
Christian C
Un peu des trois
RépondreSupprimerje crois ...
FP
Dear Pig,
RépondreSupprimerVous faites bien de rechercher l'origine de ce malaise dans votre enfance. Une vieille tradition judéo-chrétienne semble installer de façon durable le glaive de la culpabilité au-dessus de la tête de ses chérubins...
Christian C
savoir consommer les putes avec art, ici :
RépondreSupprimerhttp://photosmotstoros.blogspot.com/2008/10/je-sais-vous-avez-peut-tre-dj-lu-ce.html
La poétisation de la prostitution
RépondreSupprimerc'est un peu un mirage
mais cet ouvrage m'a tout l'air intéressant.
Et je vais voir le reste qui a l'air bien aussi !
F.Piglet